dimanche 3 août 2008

Guillaume Sarkozy

A propos du frère de Nicolas Sarkozy : voir http://www.challenges.fr/20080314.CHA9007/le_monde_acterait_lentree_de_guillaume_sarkozy_au_conse.html

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"Le Monde" acterait l'entrée de Guillaume Sarkozy au conseil de surveillance
Une réunion du conseil de surveillance du groupe, désormais présidé par Louis Schweitzer, se tient dans l'après-midi.



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(c) Reuters
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Chronologie sur la crise au "Monde"
Le groupe Le Monde tient, vendredi 14 mars à partir de 14h30 (13h30 GMT), un conseil de surveillance. Le principal point à l'ordre du jour devrait, selon le groupe, être l'élection d'un vice-président du conseil de surveillance. Un poste qui revient traditionnellement au président de la Société des rédacteurs du monde (SRM) et qu'occupait Jean-Michel Dumay, qui a démissionné en février.Selon Béatrice Gurrey, la nouvelle présidente de la SRM, interrogée par Challenges.fr, le conseil devrait également acter l'entrée en son sein de Guillaume Sarkozy, le frère du chef de l'Etat, qui remplacerait Régis de Laroullière, et le remplacement, au sein du conseil de surveillance de la filiale Le Monde SA, d'Arnaud Lagardère par Pierre Leroy, co-gérant du groupe Lagardère. Guillaume Sarkozy est actuellement délégué général du groupe de retraites complémentaires Médéric, un poste où il a remplacé Régis de Laroullière.Devraient également être mises en place deux commissions, une chargée de réfléchir à la recapitalisation du groupe, l'autre de travailler sur la convention de votes existant entre la holding Le Monde et Partenaires Associés (LMPA) et Le Monde SA, dont les groupes Lagardère et Prisa sont actionnaires à hauteur de respectivement 17% et 15%Craintes sur une recapitalisationLe 11 février dernier, l'ancien P-DG de Renault, Louis Schweitzer, avait été élu à la tête du conseil de surveillance en remplacement d'Alain Minc, démissionnaire. Les actionnaires du Monde avaient ainsi provisoirement soldé la crise qui régnait depuis des mois au sein du groupe. En juin 2007, Jean-Marie Colombani avait été remplacé à la tête du Monde par Pierre Jeantet, et les sociétés de rédacteurs avaient dénoncé les modalités de réélection d'Alain Minc à la tête du conseil de surveillance. En décembre, le directoire du groupe avait présenté sa démission collective, ouvrant une nouvelle crise finalement close par l'élection à la présidence d'Eric Fottorino, précédemment directeur du Monde. Aujourd'hui, l'enjeu principal reste celui de la santé financière du groupe. Les sociétés de personnels craignent qu'une recapitalisation, que préconisait Alain Minc, ne débouche sur une prise de contrôle par Lagardère et Prisa.[Les groupes Le Monde et Le Nouvel Observateur, propriétaire de Challenges, détiennent des participations croisées de respectivement 6% et 1,75%. Claude Perdriel, P-DG du Nouvel Observateur, est membre du conseil de surveillance du Monde]

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