vendredi 29 août 2008

CARLYLE GROUP, Figaro et Sarkozy

Groupe Carlyle
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Repères historiques
Création :
1987
Dates clés :
14 mars 2008, annonce de la faillite du fond Carlyle Capital Corporation (CCC) détenu par des associés du Groupe Carlyle
Personnages clés :
Louis V. Gerstner, Jr., PrésidentWilliam E. Conway, Jr., FondateurDaniel A. D'Aniello, FondateurDavid M. Rubenstein, FondateurJohn F. Harris, Directeur financier
Fiche d’identité
Forme juridique :
Société privée
Slogan(s) :
« Global Vision. Local insight. »
Siège social :
Washington, D.C. États-Unis
Activité(s) :
Services financiers
Produit(s) :
MBOImmobilierLBOCapital risque
Site corporatif :
http://www.carlyle.com/
Données financières
Fonds propres :
75,6 milliards de dollars
mettre à jour

Le Groupe Carlyle est une société d'investissements américaine fondée en 1987.
Basé à Washington D.C., il est présent dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias. Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est. Le groupe possède 75,6 milliards de dollars de capitaux propres[1] et il emploie plus de 515 professionnels de l'investissement dans 21 pays.
Les différentes entreprises de son portefeuille emploient quand à elles plus de 286 000 personnes dans le monde et Carlyle a environ 1 100 investisseurs répartis dans 31 pays à travers le monde.
Le groupe Carlyle est dirigé depuis janvier 2003 par Louis Gerstner, ancien patron d'IBM[2].
Sommaire[masquer]
1 Historique
2 Principaux investisseurs et conseillers
3 Controverse
3.1 Notes et références
4 Voir aussi
4.1 Articles connexes
4.2 Liens externes
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Historique [modifier]
Carlyle a été créé en 1987, avec 5 millions de dollars, dans les salons du palace new-yorkais du même nom. Ses fondateurs, quatre juristes, dont David Rubenstein (ancien conseiller du président américain Jimmy Carter à la Maison Blanche), ont alors pour ambition - limitée - de profiter d'une faille de la législation fiscale. Elle autorise les sociétés détenues en Alaska par des Eskimos à céder leurs pertes à des entreprises rentables qui payent ainsi moins d'impôts. Le groupe végète jusqu'en janvier 1989 et l'arrivée à sa tête de l'homme qui inventera le système Carlyle, Frank Carlucci. Ancien directeur adjoint de la CIA, conseiller à la sécurité nationale puis secrétaire à la défense de Ronald Reagan. Ils ont partagé une chambre quand ils étaient étudiants à Princeton. Ils se sont ensuite croisés dans de nombreuses administrations et ont même travaillé, un temps, pour la même entreprise [3],[4].
En 1997, le groupe a acquis la société américaine United Defense, gros fournisseurs de l'armée américaine en véhicules de combat et en artillerie.

L'ancien site parisien de l'Imprimerie nationale (Convention, XVe arrondissement.)
En juin 1999, il investit 1 milliard d’euros dans le quotidien français Le Figaro (devançant le Groupe Dassault) détenant ainsi 40% de l'actionnariat du quotidien (les 60% restant étant détenu par la Socpresse)[5] . En 1999, le groupe gérait plus de 4 milliards de dollars d'investissements dans le monde[6].
Dassault a progressivement repris en 2006 l'intégralité du capital de la Socpresse, maison-mère du journal Le Figaro, après être monté à 60% en mars 2004, après une première tranche de 30% en 2003.
En 2003, le groupe achète à l'État français les locaux de l'Imprimerie nationale, qui est démantelée, pour 85 millions d'euros. L'État lui rachète en 2007 ces mêmes bâtiments pour en faire le nouveau ministère des affaires étrangères, pour 376,5 millions d'euros, soit 4,5 fois le prix de départ après environ 120 millions d'euros de travaux.[7]
Annonce de la faillite de la filiale de fonds d'investissement Carlyle Capital Corporation (CCC) suite à la crise des subprimes le 13 mars 2008, ce qui n'aurait "pas d'impact mesurable" sur la situation financière du Groupe Carlyle. En effet grâce à un ingénieux système de cloisonnement des filiales, le groupe permet de préserver l'intérêt des actionnaires en diluant le risque financier sur la collectivité [8].

Principaux investisseurs et conseillers [modifier]
Le groupe a eu plusieurs membres prestigieux dont :
James Baker, ancien Secrétaire à la Défense américain.
Laurent Beaudoin, ex-président du groupe Bombardier.
George H.W. Bush, ancien Président des États-Unis et père du Président des États-Unis George W. Bush.
Frank Carlucci, ancien directeur-adjoint de la CIA, ancien Secrétaire à la Défense américain. A occupé la présidence du groupe.
Richard Darman, ancien directeur de l' U.S. Office of Management and Budget.
Paul Desmarais, président de Power Corporation of Canada.
Liu Hong Ru, ancien président de l'organisme de surveillance des opérations boursières de Chine.
Arthur Levitt, ex-président de la Securities and Exchange Commission.
John Major, ancien Premier Ministre conservateur de Grande-Bretagne.
Henri Martre, ancien de Matra Aérospatiale.
Anand Panyarachun, ancien Premier Ministre de Thaïlande.
Karl Otto Pöhl, ex-président de la Bundesbank.
Fidel Ramos, ex-président des Philippines.
le financier George Soros[6].
Thaksin Shinawatra, ancien Premier Ministre de Thaïlande.
Merrill Lynch, société financière américaine[6].
le fonds de pension de General Motors[6].
Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy), copilote depuis avril 2008, l’activité mondiale de services financiers de Carlyle Group.
Carlyle n’est pas coté en bourse, et n’est donc non tenu de divulguer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que leurs parts respectives.
Tous n'ont pas eu une part active au sein du groupe, certains noms célèbres de la politique et des affaires étant garants de la notoriété de l'entreprise dans le but d'attirer des investisseurs.

Controverse [modifier]
Le 11 septembre 2001, lors de l'attaque terroriste contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington, Carlyle réunit dans cette même ville plusieurs centaines d'investisseurs liés au groupe. Parmi les invités figurent entre autres George H.W. Bush, 41e Président des États-Unis et père du Président en exercice George W. Bush, et Shafiq Ben Laden, un demi-frère d'Oussama Ben Laden qui sera accusé de diriger Al-Qaida, la structure à l'origine de l'agression [9]. La proximité des noms Bush et Ben Laden en ce jour précis frappe les consciences, et révèle Carlyle au grand public.
La proximité de Carlyle avec la Maison Blanche, conjuguée au fait que le groupe possède des intérêts dans l'industrie de l'armement, provoque bon nombre de controverses. Le cinéaste Michael Moore l'a notamment dénoncé dans son film Fahrenheit 9/11. Il considère que le Groupe Carlyle profite de manière directe des guerres en Irak et en Afghanistan et indique qu'une partie de ses capitaux était détenue par des Saoudiens, appartenant notamment à la famille d'Oussama Ben Laden, et qui se sont débarrassé de leur participation suite à la révélation de cette situation[10]. Le Groupe Carlyle est suspecté aussi par certains journalistes indépendants comme François Missen qui a rédigé un ouvrage très complet intitulé Le réseau Carlyle : banquier des guerres américaines paru aux éditions Flammarion en 2004.

Notes et références [modifier]
Carlyle Group website http://www.carlyle.com/eng/company/l3-company732.html
The Carlyle Group Names Olivier Sarkozy Co-head of Global Financial Services Group, communiqué du groupe Carlyle, 3 mars 2008 (en)
[1] (le site n'est plus disponible)
L'Empire Carlyle sur Lemonde (nécéssite un abonnement).
L'Expansion, 27 mars 2002, Le fonds Carlyle se retire du capital du Figaro
abcdL'Expansion, 7 août 1999, Quel est ce mystérieux investisseur qui s'invite au « Figaro » ?
L'imprimerie nationale livrée à la spéculation - l'Humanité
(fr)faillite de la filiale Carlyle Capital Corporation
Cf. Fahrenheit 9/11 de Michael Moore. Le Monde, L'Empire Carlyle, 30/11/2004, déjà cité. La famille Ben Laden a publiquement démenti être en relation avec Oussama Ben Laden.
La famille Ben Laden solde en octobre 2001 les 2,02 millions $ d'investissements dans le groupe.

Voir aussi [modifier]

Articles connexes [modifier]
Fonds de capital-investissement
Crise des subprimes pour la faillite de Carlyle Capital Corporation

Liens externes [modifier]
(en) Site officiel
(nl)(en) De Ijzeren Driehoek (Exposed: The Carlyle Group), VPRPO Dutch television Documentaire hollandais.
Traduction du début : La guerre d'Irak ne semble pas du tout terminée, cependant la reconstruction semble avoir déjà recommencée. Cela crée une compétition internationale aux contrats, majoritairement remportés par des entreprises américaines. Le plus remarquable est que ces entreprises sont liées à des personnalités du monde politique et militaire américain. Y a-t-il un conflit d'intérêt, ou est-ce une nouvelle manière de faire du commerce ?-[un texte apparait avec l'inscription: 'Le triangle d'acier']- Une des compagnies agissant de cette manière est le Carlyle Group. Leur conseil d'administration est composé de George Bush père, James Baker III et l'ex-premier ministre John Major. Le Carlyle Group est une Banque d'investissement peu connue du grand public, qui est pourtant l'un des principaux investisseurs americains dans le domaine de l'industrie de défense, les télécom, services financiers. Qui est le Groupe Carlyle ? Qui est derrière ce nom ? Et de quel pouvoir Carlyle dispose-t-il ?





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Synthèse : A ce stade, il est pour le moins étrange qu'un formidable groupe d'investissement US, proche de la famille Bush, spécialisé dans la guerre, lié aux services secrets US, vienne en 1999 souffler le contrôle du Figaro à la chiraquie !


Ca constitue un argument en faveur de la thèse de Meyssan "opération Sarkozy" D'autant plus que Paul Desmarais est un acteur déterminant de Carlyle (Olivier Sarkozy n'y est entré que tout récemment, mais il est le fils de Christine de Ganay, épouse de Frank G. Wisner) Un indice supplémentaire dans ce sens, pourrait être ce qui ressemble fort à un somptueux cadeau de remerciements à Carlyle :



Politique - Article parule 17 juillet 2007 http://www.humanite.fr/2007-07-17_Politique_L-imprimerie-nationale-livree-a-la-speculation
L’imprimerie nationale livrée à la spéculation
Scandale . Les sénateurs communistes demandent une enquête parlementaire sur l’achat des bâtiments de l’imprimerie nationale.
En 2003, l’immeuble de l’imprimerie nationale, propriété de l’État, situé dans le 15e arrondissement de Paris, est vendu par le gouvernement, pour 85 millions d’euros au fonds d’investissement américain Carlyle. En juin 2007, après l’élection présidentielle, l’État rachète, pour les besoins du ministère des Affaires étrangères le même bâtiment pour la somme de 376,7 millions d’euros, soit une différence de 291,7 millions d’euros. Nicole Borvo, présidente du groupe communiste républicain et citoyen au Sénat adresse, fin juin, deux lettres, l’une au premier ministre, l’autre au président de la cour des Comptes, dénonçant « le gâchis des deniers publics ». Elle informe qu’elle interpellera le gouvernement et demandera la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire. Pour l’heure, c’est le silence du côté de Matignon comme de la cour des comptes.
Seul le ministre du Budget, Éric Woerth, a reconnu, du bout des lèvres, que « certes le prix de rachat était beaucoup plus important que le prix de vente », mais assure « que c’est une opération très bénéfique pour les finances de l’État… des travaux colossaux ayant été réalisés pour faire de ce site industriel un immeuble de bureau ». Malheureusement pour le ministre, les chiffres ont la tête dure. Les travaux n’ont coûté « que » 120 millions d’euros. En conséquence, quand on additionne ce que cela a coûté à Carlyle, 85 millions d’achat et 120 millions de rénovation, soit au total 205 millions d’euros et que l’on compare avec le prix de vente du bâtiment à l’État, soit 376,7 millions, le bénéfice réalisé en quatre ans sur le dos des contribuables français par Carlyle est de 171,7 millions d’euros environ. Il n’est pas sûr que le scandale puisse être tu encore longtemps. Un tel gaspillage contredisant les objectifs affichés du gouvernement en matière de gestion du budget de l’État.
Nicole Borvo, qui, avec Hélène Luc, sénatrice (PCF) du Val-de-Marne, a toujours été aux cotés des salariés de l’entreprise, souligne : « Cet argent aurait sans doute été plus utile à soutenir, par exemple, l’activité industrielle de l’imprimerie nationale et ses emplois ainsi qu’à sauvegarder le patrimoine culturel de cette grande entreprise publique. » Avec la fermeture du site de Paris, ce sont 900 emplois qui ont été supprimés, rappelle Patrick Pinceloup, ancien secrétaire du syndicat CGT de l’imprimerie nationale, et aujourd’hui, sur le site de Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne, 77 emplois sur 120 sont menacés.
Max Staat



Bonne source (recherche) qui décrit Carlyle : http://www.infoguerre.fr/fichiers/carlyle_group.pdf

Article bien référencé du réseau Voltaire : http://www.voltairenet.org/article12418.html

En voilà juste l'introduction :

Complexe militaro-industriel états-unien

Le Carlyle Group, une affaire d’initiés

par Réseau Voltaire

Premier gestionnaire mondial de portefeuilles, le Carlyle Group rassemble le gratin de la politique mondiale. Piloté par l’ancien secrétaire à la Défense Frank Carlucci, il comprend aussi bien George Bush père que les Ben Laden, George Soros, Mikhail Khodorkovsky ou John Major. Il s’est spécialisé dans la prise de contrôle de sociétés d’armement et de médias. Profitant de la présidence d’un de ses anciens cadres, Bush fils, il influe selon ses intérêts sur la politique étrangère des États-Unis. Usant et abusant de ses relations, le groupe réalise 30% de retour sur investissement au risque de se voir régulièrement mis en cause dans des affaires d’initiés et de corruption.
Autre source:http://www.nndb.com/company/695/000042569/
Communiqué officiel de Carlyle Group concernant le Figaro: http://www.carlyle.com/Fund/Buyout/Europe%20Buyout/item7538.html

Article descriptif de Le Point (Pinault est un ami de Sarkozy): http://www.lepoint.fr/actualites-economie/un-fonds-tres-special/916/0/37366

Carlyle 1er actionnaire privé de France Telecom (en toute discrétion en 2007...) http://www.patrice-leclerc.org/index.php?option=com_content&view=article&id=1183:quand-la-famille-sarkozy-installe-numcable-et-carlyle-au-cg92&catid=83:presse&Itemid=140

Dominique Baudis passagèrement mis en place durant l'époque du groupe Carlyle à la présidence de la rédaction du Figaro en 2000, passe en 2001 à la direction du CSA. Protestations : http://www.patrice-leclerc.org/index.php?option=com_content&view=article&id=1183:quand-la-famille-sarkozy-installe-numcable-et-carlyle-au-cg92&catid=83:presse&Itemid=140 A été passablement éclaboussé par un scandale (calomnies ?) à Toulouse. A été remplacé au CSA . Fonctions actuelles : http://www.imarabe.org/aujourlejour/actualites.php?i=127


Yves de Chaisemartin qui a occupé des fonctions centrales à Socpresse et au Figaro à l'époque du contrôle par Carlyle, nommé c/o Carlyle Europe à des fonctions élevées. A relever qu'il est actionnaire à 25% de Marianne, mais se défend vigoureusement que ce soit en lien avec Carlyle: http://www.agefi.fr/nominations/nomine.aspx?id=532

Article global sur Carlyle qui apporte des précisions sur Yves de Chaisemartin: http://forestent.free.fr/carlyle.html

Indice de liens entre Yves de Chaisemartin et Sarkozy (à Neuilly-sur-Seine dont NS était Maire) : http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2212/articles/a337804.html

Felix Rohatyn

Voir :
http://en.wikipedia.org/wiki/Felix_Rohatyn

Et
http://fr.wikipedia.org/wiki/Felix_Rohatyn

Et
http://forestent.free.fr/rohatyn.html
La forêt des médias
Felix Rohatyn
Ancien ambassadeur US en France
Ancien président de Lazard
Administrateur de Lagardère , LVMH, Rothschild Continuation Holding AG, Comcast, French American Foundation
Ancien administrateur de Suez
Membre du conseil de surveillance de Publicis
Page modifiée le 28/7/8

Et
http://www.solidariteetprogres.org/article4235.html (sa banque US frôle la faillite au printemps 2008)

Et
http://archives.lesechos.fr/archives/2006/LesEchos/19728-135-ECH.htm (se retire de CA de Rothschild en août 2006)

Et : (analyse critique de ce qui est considéré comme un double langage, un sophisme, à propos d’une interview de Rohatyn à les Echos.fr sur l’échec du libéralisme et le keynésianisme: http://www.solidariteetprogres.org/article3911.html?var_recherche=dealer

Et : (data base US sur Felix Rohatyn)
http://www.spiritus-temporis.com/felix-rohatyn/diplomacy-and-foreign-policy-credentials.html

Liens avec Wisner et le sionisme :

http://www.biblebelievers.org.au/clilist.htm

http://www.rense.com/general74/controls.htm


Sociétés secrètes et autres think tanks dont Wisner et Rohatyn sont membres :


http://www.learn-usa.com/relevant_to_et/Secret_Societies_and_Undue_Influence.pdf

Liens avec Rothschild. Accusation de conspiration contre l’industrie automobile avec des conséquences françaises :

http://www.alterinfo.net/DePEcAGE-DE-L-INDUSTRIE-AUTOMOBILE-LE-RoLE-DE-ROHATYN_a2002.html

Liens avec Alain Minc :

http://archives.lesechos.fr/archives/2006/LesEchos/19585-164-ECH.htm

Conseil d’administration de LVMH (groupe Arnault) :

http://forestent.free.fr/lvmh.html

« Corporate gouvernance » (pouvoir aux actionnaires), mutation du capitalisme français menée par Felix Rohatyn en France :

http://www.alternatives-economiques.fr/_fr_pub_115.html

Extrait d’un article critique, mais apparemment bien informé, à propos du rôle de la banque Lazard : http://usa-menace.over-blog.com/archive-06-23-2006.html


Mentionnons, enfin, les connections internationales de Lazard, ses relations avec Enrico Cuccia, de Mediobanca, Agnelli en Italie, mais surtout Felix Rohatyn à New York. Rohatyn fut le protégé d’André Meyer entre 1949 et 1998, puis ambassadeur des Etats-Unis à Paris entre 1998 et 2001, avant d’aller fonder sa propre maison Rohatyn Associates et de rejoindre la Banque Rothschild.
Felix Rohatyn est un homme très apprécié de l’élite parisienne. François Mitterrand lui avait décerné la Légion d’honneur et depuis son passage à l’ambassade, il fait partie des conseils d’administration de nombreuses sociétés françaises : Publicis, Planète Finance, LVMH... Rohatyn est aussi l’homme qui a construit, avec Meyer, le conglomérat ITT dans les années soixante aux Etats-Unis. Il est donc associé aussi à toutes les frasques de cette compagnie : l’affaire de l’OPA hostile contre l’assureur Hartford, qui a conduit à une enquête et à de sévères poursuites par la SEC ; l’affaire, surtout, du coup d’Etat fasciste de Pinochet contre Allende au Chili, où la compagnie s’est trouvée aux premières loges avec Henry Kissinger et George Shultz. En 1993, un associé de Lazard New York, Mark Feber est condamné pour corruption à de la prison ferme dans « l’affaire des obligations municipales », une affaire impliquant des pots-de-vin aux municipalités démocrates. Mais c’est Rohatyn qui, en tant que chef de Lazard, est aux avant-postes.
« Quelques années plus tard, quand son nom sera évoqué pour la vice-présidence de la Réserve fédérale, pour devenir numéro deux d’Alan Greenspan, la communauté financière et les ennemis de la banque se souviendront de l’affaire des obligations municipales. Au bruit du scandale, l’associé de Lazard sera obligé de retirer sa candidature à ce poste qu’il avait toujours convoité. »
Aujourd’hui, la maison Lazard n’est plus entre les mains de ses fondateurs historiques français. Elle a été rachetée entièrement par l’américain Bruce Wasserstein. Mais ce virus de la banque vénitienne des « coups financiers », dont Lazard est l’une des souches les plus virulentes, a été répandu à tout le secteur bancaire. Tant que les Etats ne se donneront pas les moyens d’imposer des régulations sévères à ce type de pratiques, le péril demeurera dans la République.
Sources : Solidarité et progrès
Posté par Adriana Evangelizt
par Adriana Evangelizt publié dans : Un pouvoir fasciste

Antoine Bernheim

Antoine Bernheim (invité du Fouquet's)



http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Bernheim



Réseaux connus de Bernheim. Proximité avec Vincent Bolloré et Bernard Arnault :http://www.lexpansion.com/economie/les-reseaux-d-antoine-bernheim_22520.html



Grande croix de la légion d'honneur (Présidence de Sarkozy) en juillet 07 : http://www.evene.fr/celebre/biographie/antoine-bernheim-2849.php



Un autre lien d'importance de Bernheim : Franç0is Pinault (Le Point) http://www.performancebourse.com/actualites/antoine-bernheim-generali-l-homme-qui-a-rendu-les-autres-riches,71.html





Confirmation des liens qui précèdent, tableau d'ensemble et brève allusion aux liens avec Sarkozy : http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/11/01001-20080111ARTFIG00411-antoine-bernheimpatron-d-influence.php



Milliardaire : http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p19971016/articles/a15754-.html

Eclairage sur Generali et sa manière de diriger (à l'évidence, il n'est pas tombé de la dernière pluie et a su éviter les subprimes) : http://www.lepoint.fr/actualites-economie/la-derniere-bataille-de-bernheim/916/0/219167

Extrait d’un article critique :

http://usa-menace.over-blog.com/archive-06-23-2006.html
Mais c’est Antoine Bernheim, associé gérant et capitaliste à Lazard qui, bien avant les autres, « a distingué ces nouveaux condottieri, hommes de puissance aux nerfs d’acier qui sont en train d’émerger de la crise et de la refonte économique. (…) Les marchés parlent déjà de certains de ses protégés » : Bernard Arnault qui a obtenu le contrôle du géant du luxe, LVMH, grâce à l’intervention contestée de Lazard, Vincent Bolloré, qui s’est bâti un empire africain sur les décombres des privatisations imposées par le FMI aux pays d’Afrique. Bernheim appuie aussi certains groupes, contribue à donner à Carrefour la place de numéro un en France, soutien la reprise du Printemps par François Pinault. Sans oublier Claude Bébéar, fondateur d’AXA, qui siège avec lui dans le conseil d’administration de la Generali, Jean-Marie Messier qu’il a fallu « vider » de Vivendi avant qu’une faillite monumentale n’entraîne l’ensemble de l’establishment, Edouard Stern, récemment assassiné à Genève en combinaison de latex noire…
En même temps, Lazard s’impose au sein même des conseils d’administration des établissements qu’elle conseille : « Avec un soin minutieux, la banque a mis le Cac 40 en coupe réglée. Elle a au moins un associé, parfois deux, dans chaque conseil d’administration. (…) En ces heures de gloire des années 80, Bruno Roger compte plus de sept mandats dont ceux d’UAP, Cap Gemini, Saint-Gobain, ðomson, LVMH, Elf, Lyonnaise des eaux ; Antoine Bernheim en a presque autant : il siège aux conseils d’Axa, LVMH, Eridania Beghin Say, Bolloré, PPR ; Jean-Claude Haas, lui, est chez Danone et Chargeurs, tandis que François de Combret siège aux conseils de Renault et de Sanofi » !



**********


Impression : C'est étrange que Sarkozy l'invite au Fouquet's et le décore si vite après son accession à la présidence ... Ce sont de grandes marques de reconnaissance. Tout n'est très probablement pas connu.

Il est vraisemblable que Bernheim ait joué un rôle-clé dans la constitution de l'aggrégat de financiers médiatiques autour de Sarkozy (Arnault- Bolloré-Pinault ?) et ce, peut-être avec des forces US. La présence de Rohatyn dans les conseils d'administration de LVMH, Rothschild et Lagardère , les liens entre Rohatyn et Bernheim (banque Lazard) l'évoquent fortement (A cet égard, à relever aussi la présence très en vue du groupe Lagardère dans la French-American Foundation). L'autre pôle d'activité pour renforcer Sarkozy est du côté de Frère-Desmarais pour cette concentration de financiers médiatiques. Là-aussi, les fils mènent en Amérique du Nord

Réseaux de Bernheim: http://www.lexpansion.com/economie/les-reseaux-d-antoine-bernheim_22520.html

Imbrication des sociétés et administrations croisées

Etat : 2006

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=12692

Eclairage sur LVMH:

jeudi 21 août 2008

Enron + Wisner

http://fr.wikipedia.org/wiki/Enron

Historique des dirigeants d'Enron : http://www.nndb.com/company/710/000042584/

Excellent coup d'oeil éthique sur l'affaire Enron: http://risal.collectifs.net/IMG/pdf/Enron_et_liberalisme.pdf

Article soulignant que Wisner ait agi dans des affaires économiques impliquant les services secrets US http://www.apfn.org/enron/wisner.htm

Voir aussi:

http://www.france.attac.org/spip.php?article1645

Rôle de Wisner dans un scandale d'Enron en Inde, expliquant éventuellement son accession à un poste élevé dans cette entreprise notoirement proche de Bush. http://www.newstatesman.com/200101220012

Un éclairage atypique (espionnage) sur la société Kroll qui a restructuré ENRON après le scandale (selon plusieurs sources Wisner aurait aussi été de la direction de Kroll) :http://911truth.wetpaint.com/page/Kroll+Associates+Link+to+Attack+Forknowldege?t=anon

Voilà une confirmation pour Kroll, qui apparaît subsidiairement comme une officine de renseignement évoquant Hakluyt : http://911review.org/Sept11Wiki/KrollAssociates,Inc.shtml

Kroll (Wikipedia) http://en.wikipedia.org/wiki/Kroll_Inc.

mardi 19 août 2008

French-American Foundation

http://www.french-american.org/files/faf-final-version.pdf

A relever le groupe Lagardère comme "Leader member", le groupe Arnault comme membre bienfaiteur, la financière Pinault, comme membre donnateur, parmi les membres actifs Rothschild & Co, le groupe Suez et parmi les membres individuels Nicolas Bazire, conseiller spécial deNicolas sarkozy, Invité du Fouquet's et témoin du récent mariage de Sarkozy.

Et last, but not least : Frank G. Wisner dans le groupe "sécurité et défense 2007-2008"

Extrait instructif d'une partie d'un exposé de Frank G.Wisner à la French-American association (Mai 2007) Voir : http://www.french-american.org/files/kosovo-final-status-talks.pdf


Let me close with one more reflection which takes us back to us, the United States and France. I
am not alone among the Americans in having been enormously distressed by what happened when France
and the United States came apart politically over the beginning of the War in Iraq. Whatever your views
are about the War in Iraq, mine have changed substantially over time. I remain deeply sorry about the
impact. I’m pleased that, despite this frightful outburst of Franco-American emotion, that effective
cooperation continued at many levels before, during and after the Security Council matter occurred. I,
however, am persuaded that our two sides have had the intelligence to begin to get together, compelled, by
my way of thinking, by sensible national perspectives. France needs the United States; the United States
needs France, in Europe and beyond. And therefore, in this term of George Bush’s presidency, the United
States and France, under Jacques Chirac, have found a number of points of common accord and
diplomatic cooperation over Iran, in Lebanon, over Kosovo. We’ve worked very well together.
And now you have a new president, or in ten days, a younger man, a man who has expressed his
intention to forge a closer relationship with the United States, warning Americans, quite appropriately,
that partnerships exist with two parties, you’ve got to listen to each other, but a man who’s hands are
going to be quite full with lots of foreign policy priorities—Europe, African, Mediterranean, in addition to
the trans-Atlantic relationship. A man whose heavy agenda will be domestic, as he undertakes to
complete the renewing steps that he’s promised for France and that has given him his mandate at the polls.
My own view is that we, as Americans and Frenchmen, need to look back at our history with great
caution. We need to remember that, under virtually every French presidency that I can remember, the
president has come to office, promising a new relationship with the United States, and that the force of
circumstances has put these grand visions into check after not a very long period of time. I would like to
think that we can learn—that France’s new president and that the government that he will be organizing
will learn from this lesson, and that the right strategy for French American relations is to promise little and
achieve more, to find grounds of practical collaboration, without the grand falderal of Franco-American
amity, which we have to assume starts as a defining base point. We are going to be different, the times are
different, the Cold War is over. We don’t have the same pressures, but we have, with the arrival of new
and seriously difficult issues—the climate, Russia, world economy, the Middle East, I could give you a
long list—we have a lot to worry about and a lot to do.


So I’d like to think that the first steps under a Sarkozy government are going to be aimed at
practical areas of high priority to the both of us, where you discuss quietly how to get your two sides
together and then bring the weight of Franco-American diplomatic pressure to accomplish outcomes. And
Kosovo, to come back to the opening remarks, is a perfect place to begin the month of May, for we have a
challenge, an important subject that will be vital to Europe in the future. So, with those remarks, let me
close up and I’ll be happy to try to answer any questions.


Article de Voltairenet.org à propos dela Frnch-American Foundation : http://www.voltairenet.org/article146888.html

aussi : http://esprit-europeen.fr/perspectives_desintox_usa_france.html

Article assez éclairant sur la fondation. A relever l'implication importante de John D. Negroponte, nommé chef des secrets US unifiés de 2005 à 2007 par l'administration Bush : http://www.radiochango.com/francais/konscience/article.php?ID=2059

jeudi 14 août 2008

Frank George Wisner II

http://en.wikipedia.org/wiki/Frank_G._Wisner(ne pas confondre avec son père Frank Wisner, directeur de la CIA)

et: http://www.watsoninstitute.org/events_detail.cfm?id=336

et:

http://www.nndb.com/people/808/000120448/

et

http://www.fairness.com/resources/relation?relation_id=79244

et

http://www.sourcewatch.org/index.php?title=Frank_Wisner

et

http://www.modernhistoryproject.org/mhp/EntityDisplay.php?Entity=WisnerFG2

et(passage chez Enron - avant la faillite frauduleuse d'Enron entraînant une des plus grandes sociétés d'audit mondiales, Arthur Anderson, dans sa chute au début des années 2000).

http://www.apfn.org/enron/wisner.htm Voir aussi (il est soupçonné de poursuivre des activités de services secrets US : http://www.rigorousintuition.ca/board/viewtopic.php?p=70248&sid=e541ac6703576ff42a53a720b0c5bcc9

Voir aussi son rôle en Inde par rapport à Enron (cet article est très éclairant sur Enron) http://www.france.attac.org/spip.php?article1645

et

http://www.egaliteetreconciliation.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=917&Itemid=114

et

http://aangirfan.blogspot.com/2008/07/sarkozy-de-villepin-secret-bank.html

et

http://www.geostrategie.com/883/operation-sarkozy-comment-la-cia-a-place-un-de-ses-agents-a-la-presidence-de-la-republique-francaise

et

http://axisoflogic.com/artman/publish/printer_27642.shtml

et

(extrait mise page par le moteur derecherche Google si on demande Frank george Wisner:)
Paul Wolfowitz, sa biographie À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense. ...
www.biographie.net/Paul-Wolfowitz - 59k - En cache - Pages similaires

Et encore (confirmation gouvernementale US de ses fonctions)

http://clinton6.nara.gov/1993/02/1993-02-23-biographies-of-sub-cabinet-appointees.html

En 1994, il apparaît sur le listing du groupe Bilderberg comme "Under-secretary for Policy, department of Defense" et paul Wolfowitz y apparaît comme ex- sous- secrétaire à cette même fonction. Il est donc bel et bien le successeur de Paul Wolfowitz au pentagone, responsable des questions politiques. Voir:
http://www.bilderberg.org/g/Bild-az-tab.html

Liens probables avec la CIA et liens de confiance privilégiés avec G. Bush Jr : http://www.libertyforum.org/showflat.php?Cat=&Board=news_news&Number=295560207

Autre indice dans ce sens : (extrait de ce texte qui rend compte de la nommination de John Negroponte à la direction unifiée des services secrets US : Retired ambassador Frank G. Wisner, a close friend of Negroponte's, Voir : http://www.mindfully.org/Reform/2005/John-Dimitri-Negroponte17feb05.htm

Membre de puissantes et mystérieuses associations:
1) Bilderberg. Déjà mentionné
2) Le cercle de Pinay. Anticommuniste (grave : a eu dans ses rangs le général SS Reinhard Gehlen (SD))http://www.gnosticliberationfront.com/le_cercle.htm
3) Commission trilatérale : http://www.apfn.org/apfn/cfr-members.htm

La société Hakluyt (Frank G. Wisner is on the board of Hakluyt", selon la version anglaise de Wikipedia (cf sa biographie sur Wikipedia) Voilà ce dit wikipédia de cette société qui recycle les agents du MI 6 britannique : http://en.wikipedia.org/wiki/Hakluyt_%26_Company

Le renseignement et l'infiltration paraît être le job de cette officine privée : http://www.sourcewatch.org/index.php?title=Hakluyt , mais je ne vois pas de Wisner dans le staff. Voir encore : http://matchafa.quebecblogue.com/category/corporations/renseignement-et-investigation-intelligence-and-investigation/hakluyt-company/ Voilà qui devient plus intéressant : http://www.prwatch.org/prwissues/2002Q2/bbi.html

Là, Frank G. Wisner y est : http://wiki.global-elite.org/index.php?title=Hakluyt_%26_Company

Rôle pas net de Hakluyt dans la faillite d'Enron. Transfert frauduleux de fonds ves Hakluyt lors del'effondrement d'Enron ? Il y a un dossier de 18 pages du Canard Enchaîné : http://www.geopolitique.com/criminalite/les-petits-secrets-du-cabinet-de-renseignement-hakluyt-044.html A relever aussi que EADS est un gros client d'Hakluyt, pour du renseignement. A relever aussi les fonctions élevées de Wisner chez Enron.

Ca vaudrait peut-être la peine d'aller voir le contenu de cet article (payant), à propos des activités françaises d' Haklyut: http://www.intelligenceonline.com/Identification/p_identification.asp?rub=login&lang=ANG&service=ART&context=ARC&doc_i_id=15131168

Allégations et théorie du réseau Voltaire et de Thierry meyssian (opération Sarkozy, impliquant Hakluyt) :http://blog.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.ListAll&friendID=115377252

dimanche 10 août 2008

Groupe Hersant Medias

SL'ancien groupe Hersant s'était partagé en deux selon Wikipédia (voir la réf) pour échapper aux lois sur la concentration des médias. Une branche avait été entièrement reprise par Dassault (Socpresse) et celle-ci en lien a repris le nom de Hersant. Elle reste très active dans les acquisitions (reprise du groupe Nice-Matin à Lagardère et extension rapide en Suisse Romande)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Hersant_M%C3%A9dia

Le capital serait à 100% aux mains de 13 membres dela famille Hersant. Voir :

http://www.clubpresse.com/lyon/general/322/

vendredi 8 août 2008

M6, un éclairage utile

Source, Wikipédia : (j'ai rajouté des commentaires en orange)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_M6


"Organisation [modifier]

Dirigeants [modifier]
Conseil de surveillance du Groupe M6 :
Albert Frère, président du Conseil de surveillance (NDT: Invité du Fouquet's le 6mai 2007)
Gérard Worms, Vice-Président
Guy de Panafieu (NDT époux de la candidate UMP à la mairie de Paris en mars 2007)
Bernard Arnault (NDT: invité du Fouquet's, le 6mai 2006)
Vincent de Dorlodot
Jean Laurent
Remy Sautter
Gerhard Zeiler
Comité Exécutif du Groupe M6 :
Nicolas de Tavernost : Président du Directoire (NB: (NDT ) membre fondateur de Neuilly Communication en 1985)
Thomas Valentin
Eric d’Hotelans
Catherine Lenoble
Philippe Bony
Delphine Cazaux
Emilie Pietrini
Jérôme Lefébure
Laurent Rivet
Valéry Gerfaud
Bibiane Godfroid
Yann de Kersauson

Capital [modifier]
Le principal actionnaire du groupe M6 est RTL Group, filiale audiovisuelle du groupe de média allemand Bertelsmann. Le groupe Suez, actionnaire majoritaire depuis la création s'est désengagé en 2005 et ne possède plus que 5 % du capital.

Données financières [modifier]
Données financières en millions d'euro
Années
2003
2004
2005
Chiffres d'affaires
607,6
632,5
643,6
Résultats d'exploitation
-
-
135,3
Résultats nets part du groupe
81,9
84,9
87,2
Fonds propres
-
-
-
Dettes financières
-
-
-

Données boursières [modifier]
Actions cotées
Membre de l'indice Euronext 100
Code Valeur ISIN =
Valeur nominale = euro
Actionnaires principaux :
2005 : Flottant 45.6 %, RTL Group 48.4 %, Suez 5 % auto-contrôle 1 %.
M6 possède l'équipe de football des Girondins de Bordeaux.
Données boursières au 1er janvier
Années
2004
2005
2006
Nombre d'actions cotées en millions
-
-
-
Capitalisation boursière en millions d'euro
-
-
-
Nombre de transactions quotidiennes
-
-
-

Activités du groupe [modifier]

Télévision [modifier]
Chaînes appartenant totalement au Groupe M6 :
M6 : chaîne généraliste prémium du groupe
W9
Fun TV, rachetée en 1999
M6 Music Hits
M6 Music Black
M6 Music Rock
M6 Boutique La Chaîne
Paris Première
Téva
Chaînes dans lesquelles le Groupe M6 est partenaire :
TF6 (chaîne détenue à 50 % par le groupe M6 et à 50 % par le groupe TF1)
Série Club (chaîne détenue à 50 % par le groupe M6 et à 50 % par le groupe TF1)
M6 et W9 ont été retenues par le CSA pour faire partie de l'offre de télévision numérique terrestre française gratuite en France. TF6 et Paris Première ont été retenues pour l'offre payante. "



Nomination de Bernard Arnault et Guy de Panafieu au conseil de surveillance de M6 : http://www.renaudgranel.com/cgi-bin/documents.cgi?favorite=open&ref=3285666
Article de février 2004. L'entrée de ces deux personnes, tout comme très probablement celle d'Albert Frère s'est faite durant la période où Desmarais et Frère détenaient le 25 % du capital du géant Bertelsmann

Liens avec le département d'Etat et les services secrets US ??

Extrait édifiant de cet article : http://www.come4news.com/sarkozy-la-grande-trahison-il-nest-pas-un-homme-libre-65112#nb5



"Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. Ils agissent en trois temps : d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle, enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle. "

Franck Wiesner Jr. n'est autre qu'un proche de Sarkozy: le père de N. Sarkozy, Pal Sarkozy avait épousé en secondes noces Christine de Ganay, dont il divorça aussi. mais cette dernière se remaria avec rien moins que le N° 2 de l'administration centrale US. La complexe famille rcomposée de NS, a semble-t'il conduit à rapprochéer NS de cette branche-là et NS aurait bénéficié de programmes de formation du département d'Etat US

Cet article-là est très détaillé, en particulier sur les tentatives de la CIA de descendre De Gaulle et les mesures de ce dernier pour de protéger. Infos éclairantes sur Pasqua, les milieux illégaux corses et la mairie de Neuilly-sur-Seine, juste avant le début de l'ascension de Sarkozy. Redétaille la thèse de Thierry Meyssian. Info complémentaires intéressante sur Christine Lagarde qui aurait travaillé pour Dick Cheney (Pentagone) http://forum.orange.fr/liremessages.php?idsection=1899&thread=1792736


Voilà un point de vue critique sur cette histoire qui vient d'un blog tunisien, bien documenté : http://nawaat.org/portail/2008/08/09/sarkozy-agent-de-la-cia/



Informations concernant un demi-frère de NS, Olivier Sarkozy, issu de cette même branche familiale et qui fait une brillante carrière bancaire aux USA, au service de l'UBS (groupe bancaire suisse), puis chez le fond controversé Carlysle http://www.performancebourse.com/actualites/paul-desmarais-powercorp-gbl-rejoint-par-un-sarkozy-chez-carlyle,594.html où il y a déjà le boss de PowerCorp, Paul Desmarais (et aussi de GBL avec Albert Frère, GBL 1er investisseur privé de GDF-Suez) http://www.alterinfo.net/DANS-LA-FAMILLE-SARKOZY,-JE-VOUDRAIS-LE-GROUPE-CARLYLE_a17433.html

mardi 5 août 2008

GDF


Structure du capital de GDF-Suez
Source:
Extrait d'une considération annexe d'un excellent article du Monde diplomatique de 2006:

http://www.monde-diplomatique.fr/2006/09/BENILDE/13928

15) Le revirement de M. Sarkozy dans le cas de la fusion entre Gaz de France (GDF) et Suez a été plus souvent évoqué par la presse : ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en 2004, M. Sarkozy s’engage solennellement à ce que la part de l’Etat ne descende jamais en dessous de 70 % dans GDF. En 2006, il se prononce cependant en faveur de la fusion de l’entité publique avec le groupe privé, ce qui rendra minoritaire la part de l’Etat dans la nouvelle entité.

Voir le décret de privatisation de GDF de décembre 2007 (il ne reste que 35 % de part publique) et les liens pour les articles suivants sur la fusion GDF-Suez :
http://www.actu-environnement.com/ae/news/decret_privatisation_GDF_publication_4167.php4

Approbation par les actionnaires de Suez. L'Etat reste pour le moment le 1er actionnaire avec les 35 % qui lui restent et le groupe GBL d'Albert frère est le 2e actionnaire avec 5,6 % de la nouvelle société Suez-GDF. http://www.france24.com/fr/20080716-naissance-gdf-suez-nouveau-leader-mondial-energie-energie-electricite
Ca vaut la peine delire le dossier qu'a réuni bellaciao. ca permet d'éclairer certains points :

Desmarais, Frère, Bertelsmann, Suez, Total et GDF

Situation en 2001 : Voir http://www.strategies.fr/archives/1178/117802701/bertelsmann-actionnaire-majoritaire-de-rtl.html
ACTUALITÉ - MÉDIAS
STRATÉGIES 1178 du 09/02/2001 (page 27)

RADIO
Bertelsmann actionnaire majoritaire de RTL
Le géant allemand des médias porte sa participation dans RTL Group de 37 à 67% et accueille GBL dans son capital.
R1TL Group passe sous pavillon allemand. Le 5février, Bertelsmann a annoncé avoir pris le contrôle des deux tiers du groupe d'origine luxembourgeois, propriétaire en France de RTL. Déjà détenteur de 37% de RTL Group, le géant allemand a racheté les 30% que détenait le Groupe Bruxelles Lambert (GBL). En échange, le groupe d'Albert Frère et Paul Desmarais a reçu 25,1% du capital de Bertelsmann, qui aura la possibilité de se placer en Bourse d'ici trois à quatre ans. Le reste du capital de RTL Group, qui détient 22télévisions et 18radios dans 11pays européens, reste à 22% dans les mains de Pearson et est à environ 11% coté sur les marchés britannique, belge et luxembourgeois. «Bertelsmann est l'un des moteurs de la croissance de RTL Group , déclare Didier Bellens, chief executive officer du groupe. Nos objectifs sont basés sur les mêmes principes et nos stratégies visent des objectifs communs.» Présent dans cinquante huit pays, Bertelsmann a réalisé un chiffre d'affaires de 16,6milliards d'euros l'an passé. «Cette opération est une étape stratégique et historique significative» , se réjouit Thomas Middelhoff, chairman et CEO de Bertelsmann. En 1995, l'État luxembourgeois a renouvelé la concession de RTL jusqu'en 2010. En France, le Conseil supérieur de l'audiovisuel devra agréer le changement d'actionnariat de RTL.

BRUNO FRAIOLI
Voir aussi (nombreux lien, éclaire sur la complexité de l’imbrication des diverses participations, mais aussi Sur l’affaire GDF-Suez et ses liens avec Desmarais, Frère et Sarkozy : (Info d’un blog du Québec) :
http://matchafa.wordpress.com/2007/09/13/carlyle-les-desmarais-et-le-toujours-corrompu-sarkozy/
• Dans un précédent billet précédent je parlais de Sakozy comme étant aux ordres du patronat par reconnaissance enver ce dernier pour services rendu. Et bien, il semble que je suis passé à côté de l’essentiel mais heureusement ce vidéo de James l’a fait réaliser. Il semble que ce soit devenu une habitude chez Sarkozy: partir en vacances toutes payées par quelque riches individus et ensuite les repayer avec les moyens de l’État. En effet,si on notait précédemment le cas de Bolloré et Valérie Pécresse, on a maintenent un cas similaire avec les Desmarais. Sarkozy a passé une partie de ses vacances chez les Desmarais cet été et le voici maintenent qu’il vend la société d’État française, Gaz de France (GDF), à rabais à Suez. Or Suez est largement détenue par Power Corporation, la compagnie des Desmarais (voir plus bas), Paul Desmarais Jr. siège sur le conseil s’administration de Suez et en plus de la part de Suez qu’il détient indirectement à travers PCC, il détient 2000 actions de Suez directement.
• Le fait intéressant que notre très cher Jean Charest est lui aussi lié aux Desmarais, ce que je ne savais pas, et l’explication de pourquoi Jean Charest insiste sur les projets absurdes de términaux méthaniers au Québec pour livraison de gaz auz ÉU alors même que les villes côtière étasuniennes ne veulenent pas des projets. En effet une recherche sommaire sur le site de Rabaska nous révèle que GDF (maintenent posséssion des Desmarais grâce à Sarkozy) est un des trois partenaires du projet! (Pour ce qui est de Gros-Cacouna je n’ai pas pu, en cinq minute de recherche internet, trouver de lien super fort avec les Demarais, mais il y a quand même celui-ci: les partenaires de Gros-Cacouna sont Petro Canada et TransCanada et Investor’s Group, filière de Power Corporation détient 2,31% de TransCanada). Donc après avoir essayé de nous contaminer en voulant installer le CHUM à la gare de triage d’Outremont, il semble bien que les Desmarais essaient de nous donner un mélange explosif et polluant avec les ports méthaniers!
• ADDENDUM: Le Groupe Investor’s détient aussi 3,35% des parts de Enbridge, le deuxième partenaire de Rabaska, et 6 des 14 membres du Conseil d’Administration de GazMétro (le troisième partenaire du projet) siègent aussi sur le conseil d’administration de GDF ou de Enbridge. En plus, Enbridge detient 32,06% des parts de GazMétro inc et GDF détient 17,56% des parts de GazMétro inc. Il est aussi intéressant de noter qu’un tière (4 sur 12: BAXTER JAMESON A; HILL JOHN A; LEIBLER KENNETH R; PUTNAM GEORGE III) des directeur/rices de Petro-Canada (un des deux partenaire de Gros-Cacouna) sont aussi directeur/rices de Putnam, une compagnie étasunienne récemment achetée par Power Corporation!
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Notez que ce n’est pas seulement James et moins qui avons noté ces faits, une recherche rapide sur internet nous révèle les articles suivants (dont un du très «mainstream» «Le Monde») étayant ces deux même points: Le Grand soir Tendences Les Affaires Le Monde
(cliquez sur les images pour agrandir)
Pourcentages de participation au 31 décembre 2006.(1) Par l’entremise de sa filiale en propriété exclusive, Power Financial Europe B.V., la Corporation Financière Power détenait une participation de 50 % dans Parjointco N.V., et Parjointco détenait 61,4 % des droits de vote et une participation de 54,1 % dans Pargesa Holding S.A.(2) Participation, directe et indirecte, de 65 % des droits de vote. Le capital de Suez est réparti comme suit:
Répartition du capital par nature d’actionnaire au 31 Janvier 2007

Position des principaux actionnaires au 31 Janvier 2007



Données sur le capital au 31 août 2007
Nombre d’actions existantes
1 296 893 026 actions Nombre de droits de vote
1 446 286 565 droits de vote
ADDENDUM 2:
En fait les Desmarais contrôlent plus de 5% de Total S.A. et non pas 3% comme les tableau ci-dessus pourraient laisser croire: en plus des 3,8% détenus à travers le GBL, il y a 1,3% détenu par Kermadec filiale à 100% de CNP elle même détenue et contrôlée par la famille Frère alliés des Desmarais et en plus de ça les Desmarais Sr. détient directement à titre personnel 4000 actions de Total et Desmarais Jr. 2000 actions. En tout cela fait 5,23% du capital et 5,09% des droits de votes de Total S.A.

Autre article de la Tribune, au moment où elle appartenait encore à Arnault, sans doute bien informé : http://www.latribune.fr/info/IDC125721100461B7FC12572640079CCF0-$Db=Dossiers/dossier_suez_gdf.nsf

Dossiers
La Tribune - 15/01/07 - 495 mots
HOLDING
L'argent de GBL fait fantasmer la Bourse
Alors qu'il se renforce dans Suez , le holding d'Albert Frère affiche une décote de 20 % sur sa valeur intrinsèque. Les spéculations vont bon train.

L'organigramme du groupe Albert Frère

voir :
http://www.latribune.fr/info/IDC125721100461B7FC12572640079CCF0-$Db=Dossiers/dossier_suez_gdf.nsf


Chez Suez, il est devenu incontournable. Il le sera davantage encore. Albert Frère, qui a acheté 1,1 % du capital à la Caixa, vient, comme nous l'indiquions dans notre édition du 9 janvier, de se renforcer à nouveau, en mettant la main sur 0,4 % supplémentaire du capital, portant sa participation à 9,5 %. Selon nos informations, le vendeur serait Knight Vinke. Coïncidence ?
Sur les marchés financiers, les rumeurs, parfois très fantaisistes, vont bon train. Sur les intentions du baron belge d'abord, d'aucuns lui prêtent la volonté de lancer une OPA sur Suez. Sur une éventuelle restructuration de sa galaxie de sociétés d'investissements (CNP, Pargesa et GBL), ensuite. Le scénario le plus communément évoqué par les intermédiaires financiers concerne une fusion de GBL (Groupe Bruxelles Lambert) qui porte entre autres les 9,5 % de Suez) avec sa maison mère, Pargesa. Cette dernière contrôlée conjointement par Albert Frère et par Paul Desmarais qui n'a plus qu'une participation directe de 26,8 % dans Imerys, pourrait être rachetée par GBL. Une opération qui permettrait à BNP Paribas, qui détient 14,6 % dans Pargesa et qui semble ne pas avoir vocation à rester actionnaire (par un échange de titres, la banque française a déjà réduit en novembre sa part en droits de vote de 21,3 % à 19,8 %) de trouver une porte de sortie. En parallèle, Paul Desmarais qui a indiqué début janvier son intérêt pour la société américaine Putnam pourrait vendre ses parts dans la holding de tête de Pargesa et passer à une autre aventure.
TRESOR DE GUERRE
Pour les analystes financiers belges, ces rumeurs ne sont pas crédibles. " Albert Frère n'est pas un maniaque de la simplification de ses structures. Sa cascade de holdings fonctionne très bien comme elle est ", note un spécialiste des sociétés d'investissement. Autre argument de poids : le financier n'aime guère dépenser son argent pour racheter les intérêts des actionnaires minoritaires.
Alors, pourquoi de tels bruits ? Parce qu'il y a beaucoup d'argent dans GBL depuis la cession des 25 % dans Bertelsmann en juin dernier. Depuis, le groupe a utilisé 1 milliard pour se renforcer dans Lafarge et dans Suez. Mais il reste pas moins de 2,5 milliards d'euros qui n'ont pas été réinvestis et dont les marchés voudraient bien toucher leur quote-part.
Du coup, à 91,55 euros, le titre GBL se traite avec une décote supérieure à la moyenne du secteur, soit de 20 % sur sa valeur intrinsèque, alors que les objectifs de cours tournent autour de 100 euros. Persuadés qu'Albert Frère va trouver une idée aussi rentable que Lafarge (+ 40 % en 2006), les analystes parient sur un investissement dans Saint-Gobain. Après un excellent exercice 2006, le titre est encore sous-évalué.
Voir aussi les explications des participations du groupe GBL d’Albert Frère en France
http://www.journaldunet.com/economie/dirigeants/albert-frere/3-gbl.shtml

A propos de la nuit du Fouquet’s du 6 mai 07 : http://www.performancebourse.com/actualites/albert-frere-bernard-arnault-et-martin-bouygues-stars-de-la-nuit-du-fouquet-s,192.html
Le célèbre investisseur belge Albert Frère était du tour de table, avec son associé en affaire le canadien Paul Desmarais (père). Les deux hommes contrôlent de concert la holding Groupe Bruxelles Lambert (GBL) qui est présente au capital de nombreux groupes français. Notamment Suez GDF, un dossier sur lequel le nouveau président est intervenu peu de temps après son installation.

Voilà probablement l’article le plus éclairant et le plus actuel concernant les Desmarais et leurs investissements en France avec Albert frère, ainsi que leurs liens et rôle dans l’accès à la présidence de Sarkozy. http://lesnouvellesinternationales.blogspot.com/2008/02/sarkozy-dcore-desmarais-son-riche-et.html

Présentation du groupe Bertelsmann (2008) On y apprend que la famille Mohn y est redevenue 100% propriétaire en rachetant les 25% du capital détenu par GBL (Frère et Desmarais, surtout) : http://fr.encarta.msn.com/text_741533914___0/Bertelsmann.html
Ancienne présentation (2002) mais qui détaille les activités TV et médias en France : http://www.acrimed.org/article659.html
Sortie de Frère et Desmarais du capital de Bertelsmann (mai 2006 ?) : Réorientation du capital vers la fusion GDF-Suez http://www.lexpress.fr/actualite/economie/albert-frere-toujours-en-actions_482011.html

Voir aussi ça (attribution de légion d'honneur à Albert frère- il n'a pas en core vu celle du 14 juillet à Paul desmarais-)
http://www.lepost.fr/article/2008/02/28/1105670_desmarais-mon-frere-au-quart-de-tour.html

lundi 4 août 2008

Groupe Bilderberg

Groupe Bilderberg

(Les milliardaires Paul Desmarais, père et fils, en feraient partie selon Wikipédia. Ils sont en étroite relation d’affaire avec Albert frère, le milliardaire belge, ex-actionnaire majoritaire de Bertelsmann et encore président du conseil de surveillance de M6)
Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Bilderberg

Et : http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html

Et (édition 2008): http://www.rue89.com/2008/06/11/bilderberg-silence-medias-sur-les-reunions-de-lelite-mondiale

Et article canadien qui tente de comprendre la nature et les effets des réunions de Bilderberg : http://www.canada.com/ottawacitizen/news/story.html?id=85ef0469-1893-4bd7-aee5-ffe5394fa63c&k=79349&p=3

Ou encore : http://www.phpbbserver.com/lelibreforumcat/viewtopic.php?t=2773&sid=7094c7cf508c5e38ca9ea81bd443e1cb&mforum=lelibreforumcat

Et (liste des participants français, probablement incomplète): http://www.ipernity.com/blog/stangrof/69645 à relever que Manuel Valls(PS) et Nicolas Baverez (Invité du Fouquet’s) en font partie. Nicolas baverez; voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Baverez Autre source pour la liste des participants de 2008: http://www.alterinfo.net/La-liste-des-participants-de-la-reunion-annuelle-des-Bilderberg-de-2008_a20540.html (un peu différente, mais mentionne Christine Ockrent)

Et (site partisan, mais passablement d’infos) : http://www.bilderberg.org/bilder.htm

Et (article de la BBC qui tente d’y voir clair) : http://news.bbc.co.uk/1/hi/magazine/3773019.stm

Et: (liste 2007 - à noter que Nicolas Beytout (ex- rédacteur en chef du Figaro et actuel directeur du pôle médiatique de LVMH (Arnault) et Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères du gouvernement UMP, en font partie) : http://questionscritiques.free.fr/Bilderberg/Bilderberg_2007_210507.htm

Et (Paul Desmarais jr en fait bel et bien partie) : http://www.embassymag.ca/html/index.php?display=story&full_path=/2008/june/11/chatterhouse /

NB: Paul Desmarais et Albert frère ont été actionnaires à 25% de Bertelsmann (M6, RTL,..) jusqu'à mi 2006 (Frère est resté au conseil desurveillance de M6) et les acteurs centraux de la fusion/privatisation GDF-Suez http://conspiration.ca/ringard/paul_desmarais_sarkosy_legion_honneur.htm

(Voir aussi sous desmarais, les liens avec la famille Sarkozy)

Une bonne synthèse récente concernant Bilderberg:

http://news.stcom.net/modules.php?name=News&file=article&sid=2698